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LE MEPRIS

« La vraie violence, c’est le mépris » 

Ce que les Français ne supportent plus et n'ont jamais supporté c'est ce mépris et l'arrogance de cette classe de politiciens 2.0 qui d'une manière condescendante étale sa technocratie numérique de jeunes " gommeux " en fréquentant  les palais et couloirs de la République, "Lap top " ( ordinateur portable) et smartphOne à la boutonnière.

Ne nous y trompons pas, le jeune et sémillant énarque de 2004, qui a été formaté et initialisé dans le moule de l'inspection des finances puis qui a flirté avec cette gauche intellectuelle de la Social- démocratie ( Ricoeur and Co, etc... ) ce n'était que pour dissimuler la brutalité et l'avidité de la haute finance. Depuis longtemps il avait été repéré par les hommes de l'ombre du CAC 40 pour capter cette quadra-génération du clavier afin d'opérer avec elle la transition du modèle économique du capitalisme qui entreprend et cré de la richesse ( à la papa ) vers celui de la mondialisation et de la déréglementation du travail et de ses outils uniquement financiers. Il n'a été et n'est que la marionnette et un pur produit  marketing pour mieux vendre la mondialisation et son fils putatif le néo-libéralisme !

La finance n'a jamais aimé l’État Jacobin issu de la révolution qui prône la souveraineté populaire, d'où l'utilisation à outrance du 49-3. Le parlement ( assemblée nationale et sénat ) n'est que le décor de la démocratie qui selon les saisons peut changer de couleurs, de formes, etc...mais reste qu'une option dans les coulisses.

Les financiers, nationaux, européens et mondiaux ont sifflé la fin de la récréation financière et de la grande distribution du " quoiqu'il en coûte " ,( qu'ils ont initié quand ils avaient la peur au ventre d'attraper comme le menu peuple cette peste égalitaire qu'a été le virus du siècle - que n'auraient-ils pas fait pour sauver leur peau -  ) l'heure est à la récupération de cette manne du quoiqu'il en coûte qui n’avait été " finalement que prêtée " maintenant que la grande faucheuse est passée. Bien entendu il faudra y ajouter les intérêts.

Alors les bonnes petites marionnettes politiques doivent se débrouiller et vite pour ratisser  " le risque économique était trop grand " , TOUT est dit, avouer et cracher ! Ce ne sera pas dans les recettes de poche mais dans le LOURD. Des milliards, dès septembre et sur plusieurs générations.

Je constate avec amertume que mon analyse comme d'autres l'ont fait était la bonne et que le prétexte de la sauvegarde des retraites par répartition était un énorme mensonge.

Les huissiers étaient à la porte de la maison FRANCE ! ( Quel mépris et arrogance ).

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